Edouard Challe discussion of: Consequences of weak monetary policy
In: Economic policy, Band 38, Heft 115, S. 561-563
ISSN: 1468-0327
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In: Economic policy, Band 38, Heft 115, S. 561-563
ISSN: 1468-0327
In: Economic policy, Band 38, Heft 114, S. 417-418
ISSN: 1468-0327
In: Economic policy, Band 37, Heft 111, S. 461-464
ISSN: 1468-0327
In: Economic policy, Band 37, Heft 110, S. 331-333
ISSN: 1468-0327
L'étude des fluctuations macroéconomiques part du principe que le comportement du tout (les agrégats) ne se réduit pas à la somme des parties (les agents, les marchés). Il en est ainsi parce que les interdépendances entre marchés peuvent substantiellement amplifier, ou au contraire amortir, les chocs qui à tout moment perturbent l'équilibre. La compréhension de ces effets d'équilibre général, sur lesquels les évidences directes sont limitées, les facteurs confondants multiples, et les expérimentations contrôlées impossibles, est nécessairement plus conjecturale – mais non moins « scientifique » – que l'étude des comportements individuels ou d'un marché isolé. Ignorer ces effets au motif qu'ils n'ont pas le même degré de certitude empirique qu'un effet microéconomique directement observé peut conduire à de lourdes erreurs de politique économique.
BASE
L'étude des fluctuations macroéconomiques part du principe que le comportement du tout (les agrégats) ne se réduit pas à la somme des parties (les agents, les marchés). Il en est ainsi parce que les interdépendances entre marchés peuvent substantiellement amplifier, ou au contraire amortir, les chocs qui à tout moment perturbent l'équilibre. La compréhension de ces effets d'équilibre général, sur lesquels les évidences directes sont limitées, les facteurs confondants multiples, et les expérimentations contrôlées impossibles, est nécessairement plus conjecturale – mais non moins « scientifique » – que l'étude des comportements individuels ou d'un marché isolé. Ignorer ces effets au motif qu'ils n'ont pas le même degré de certitude empirique qu'un effet microéconomique directement observé peut conduire à de lourdes erreurs de politique économique.
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L'étude des fluctuations macroéconomiques part du principe que le comportement du tout (les agrégats) ne se réduit pas à la somme des parties (les agents, les marchés). Il en est ainsi parce que les interdépendances entre marchés peuvent substantiellement amplifier, ou au contraire amortir, les chocs qui à tout moment perturbent l'équilibre. La compréhension de ces effets d'équilibre général, sur lesquels les évidences directes sont limitées, les facteurs confondants multiples, et les expérimentations contrôlées impossibles, est nécessairement plus conjecturale – mais non moins « scientifique » – que l'étude des comportements individuels ou d'un marché isolé. Ignorer ces effets au motif qu'ils n'ont pas le même degré de certitude empirique qu'un effet microéconomique directement observé peut conduire à de lourdes erreurs de politique économique.
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L'étude des fluctuations macroéconomiques part du principe que le comportement du tout (les agrégats) ne se réduit pas à la somme des parties (les agents, les marchés). Il en est ainsi parce que les interdépendances entre marchés peuvent substantiellement amplifier, ou au contraire amortir, les chocs qui à tout moment perturbent l'équilibre. La compréhension de ces effets d'équilibre général, sur lesquels les évidences directes sont limitées, les facteurs confondants multiples, et les expérimentations contrôlées impossibles, est nécessairement plus conjecturale – mais non moins « scientifique » – que l'étude des comportements individuels ou d'un marché isolé. Ignorer ces effets au motif qu'ils n'ont pas le même degré de certitude empirique qu'un effet microéconomique directement observé peut conduire à de lourdes erreurs de politique économique.
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L'étude des fluctuations macroéconomiques part du principe que le comportement du tout (les agrégats) ne se réduit pas à la somme des parties (les agents, les marchés). Il en est ainsi parce que les interdépendances entre marchés peuvent substantiellement amplifier, ou au contraire amortir, les chocs qui à tout moment perturbent l'équilibre. La compréhension de ces effets d'équilibre général, sur lesquels les évidences directes sont limitées, les facteurs confondants multiples, et les expérimentations contrôlées impossibles, est nécessairement plus conjecturale – mais non moins « scientifique » – que l'étude des comportements individuels ou d'un marché isolé. Ignorer ces effets au motif qu'ils n'ont pas le même degré de certitude empirique qu'un effet microéconomique directement observé peut conduire à de lourdes erreurs de politique économique.
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L'étude des fluctuations macroéconomiques part du principe que le comportement du tout (les agrégats) ne se réduit pas à la somme des parties (les agents, les marchés). Il en est ainsi parce que les interdépendances entre marchés peuvent substantiellement amplifier, ou au contraire amortir, les chocs qui à tout moment perturbent l'équilibre. La compréhension de ces effets d'équilibre général, sur lesquels les évidences directes sont limitées, les facteurs confondants multiples, et les expérimentations contrôlées impossibles, est nécessairement plus conjecturale – mais non moins « scientifique » – que l'étude des comportements individuels ou d'un marché isolé. Ignorer ces effets au motif qu'ils n'ont pas le même degré de certitude empirique qu'un effet microéconomique directement observé peut conduire à de lourdes erreurs de politique économique.
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In: Journal of economic dynamics & control, Band 32, Heft 7, S. 2148-2164
ISSN: 0165-1889
In: Revue économique, Band 55, Heft 3, S. 395
ISSN: 1950-6694
Introduction : from business-cycle measurement to macroeconomic theory -- Aggregate demand-- Aggregate supply-- AS-AD equilibrium and the propagation of macroeconomic shocks -- Unemployment fluctuations -- Monetary policy -- Fiscal policy -- The liquidity trap -- Unconventional monetary policies -- Fiscal policy and structural reforms in a liquidity trap--References--Index.
Cet article vise à clarifier le débat sur l'excédent courant allemand encomparant la compétitivité-prix et les performances à l'exportation del'Allemagne et de la France. Nous avançons qu'un déterminant fondamentaldes déséquilibres entre les deux pays est la divergence des coûts salariauxunitaires entre ces deux pays à partir des années 2000. Cette divergenceprocède de trois facteurs. Tout d'abord, les réformes sur le marché du travail enAllemagne à partir de la fin des années 1990 ont conduit à une hausse de l'offrede travail, accompagnée d'une modération salariale, voire d'une baisse dessalaires réels. Ce gain de compétitivité-prix s'est ensuite amplifié en raison,d'une part, de la fixité du taux change nominal et, d'autre part, de rigiditéssalariales nominales en France. Nous construisons un modèle simplifié decommerce international afin d'identifier le rôle de la concurrence pour lademande mondiale dans une union monétaire. Ce mécanisme est absent denombreux travaux analysant les déséquilibres au sein de la zone euro (quiconsidèrent l'Europe comme une économie fermée). Une hausse de l'inflationet une meilleure coordination des politiques salariales contribueraient à faciliterune reconvergence européenne.
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Cet article vise à clarifier le débat sur l'excédent courant allemand encomparant la compétitivité-prix et les performances à l'exportation del'Allemagne et de la France. Nous avançons qu'un déterminant fondamentaldes déséquilibres entre les deux pays est la divergence des coûts salariauxunitaires entre ces deux pays à partir des années 2000. Cette divergenceprocède de trois facteurs. Tout d'abord, les réformes sur le marché du travail enAllemagne à partir de la fin des années 1990 ont conduit à une hausse de l'offrede travail, accompagnée d'une modération salariale, voire d'une baisse dessalaires réels. Ce gain de compétitivité-prix s'est ensuite amplifié en raison,d'une part, de la fixité du taux change nominal et, d'autre part, de rigiditéssalariales nominales en France. Nous construisons un modèle simplifié decommerce international afin d'identifier le rôle de la concurrence pour lademande mondiale dans une union monétaire. Ce mécanisme est absent denombreux travaux analysant les déséquilibres au sein de la zone euro (quiconsidèrent l'Europe comme une économie fermée). Une hausse de l'inflationet une meilleure coordination des politiques salariales contribueraient à faciliterune reconvergence européenne.
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